Black Snakes T3 - Sam

Thèmes : Romance, Bikers, Suspense, Enemies to lovers, Actions, Rebondissements, Amour fraternel, Trahison, Remise en question
Sortie le : 28 février 2023
Nombre de pages : 427 pages
Formats disponibles : Broché, Ebook, Relié, Abonnement Kindle
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Résumé :
Bienvenue dans le troisième tome de la série « Black Snakes », une romance à suspense dans le monde des bikers pas comme les autres.
Sam, biker apprécié parmi les Black Snakes, peine à se trouver une partenaire dans la vie à cause de son visage défiguré. Frustré d'effrayer toutes les femmes, il trouve son réconfort dans son job au sein du MC en tant qu'interrogateur. Cependant, suite à une énième déception, il décide de prendre un peu le large.
Dans l'espoir de retrouver son frère, Stella, jeune femme au tempérament explosif, débarque à Chicago. Alors qu'elle est en train de s'installer, elle fait la rencontre d'un homme avec qui tout ne se passe pas comme elle l'avait imaginé. Malheureusement, la vie peut être joueuse… Son existence va prendre un tournant qu'elle n'avait pas envisagé.
Stella obtiendra-t-elle des nouvelles de son frère ? Les découvertes qu'elle fera vont-elles la briser ? Sam et elle parviendront-ils à se supporter et à se soutenir ?
Extraits :
Ces extraits sont soumis à un copyright et sont ma propriété.
Extrait 1 :
Tasse en main, je pivote, prêt à regagner ma place lorsqu’une femme me percute. Sa tête est tournée vers l’arrière pour discuter avec un type assis à une table. Mon café se renverse autant sur moi que sur elle, m’arrachant un juron tandis que le liquide me brûle le torse. Je m’apprête à gueuler après la fille à la couleur de cheveux semblable à des flammes quand elle me précède.
— Putain ! Vous pouvez pas regarder où vous allez !
Je suis tellement sidéré que ma bouche reste grande ouverte sans aucun son prononcé.
— Ouvrez les yeux ! C’est pas le tout d’avoir des muscles gonflés à bloc ! Un cerveau fonctionnel avec les bases sous votre crâne chauve serait également utile ! gronde-t-elle en écartant un peu sa chemise de son corps pour atténuer la brûlure du liquide noir.
Ce geste attire mon attention sur la courbe de sa poitrine. J’y glisserai bien ma langue.
— Vous pourriez vous excuser et me le repayer ! C’est vous qui ne regardiez pas !
— Hors de question, Frankenstein !
Extrait 2 :
En sortant de la douche qui m’a fait un bien fou, je m’allonge dans mon lit, prête à profiter d’une longue et merveilleuse nuit réparatrice quand j’entends des bruits dans le logement d’à côté. Sûrement la télé. Si j’entends un coup de feu ou une bagarre, j’appellerai les flics.
Je ferme les yeux, détends mes muscles. Morphée commence à m’emporter quand soudain, les mêmes bruits me font sursauter. Je contiens mon irritation en comprenant de quoi il s’agit. J’enfouis ma tête dans l’oreiller pour me rendre sourde, mais les gémissements redoublent. Exténuée, je frappe contre le mur et gueule le plus fort possible :
— Baisse le son de ton putain de porno, Franky !
— Sois pas jalouse, toi aussi tu as quelqu’un avec qui assouvir tes envies… Ah non ! Il t’a lourdée, c’est vrai, hurle cet enfoiré.
Par la voix féminine qui le sermonne, je comprends qu’il ne regarde pas un film érotique. Mais bon sang, qui voudrait baiser avec ce type ? Il est insupportable !
Extrait 3 :
Quand j’entends des cris, suivis d’un coup de feu, je me pétrifie. Seul mon cœur qui bat à mille à l’heure résonne dans mes tympans. Non ! C’est impossible ! Elle a trop de caractère pour se laisser abattre ! OK, face à une arme, caractère ou pas, cela ne fait aucune différence, mais elle est maligne. Je suis la provenance des sons et entre dans la pièce. Mes jambes sont comme sciées. Je repère un type au milieu de celle-ci, inerte. Un autre est allongé sur un corps que je reconnais grâce à cette couleur de cheveux atypique. Mon regard est attiré par du sang qui s’écoule sur le sol.
Non ! Non ! C’est impossible !
Extrait 4 :
En passant la porte-fenêtre, un détail attire mon attention sur la droite. Mon cœur rate un battement avant de s’affoler. J’écarquille les yeux tandis qu’une chaleur étrange se diffuse dans mon corps. Même de dos, je suis incapable de me tromper. Ce dégradé de couleur qui m’évoque des flammes, ces boucles longues, légères…
Que fout-elle ici, bordel ?! Serait-elle une nouvelle brebis ?
Je m’approche d’elle d’un pas rapide. Quand elle se penche pour ramasser son portable qui vient de lui échapper des mains, j’ai une magnifique vue sur son cul. Il semble ferme… Il n’y a qu’un moyen de le savoir ! Avant qu’elle ne se relève, je lui assène une claque avec une force modérée sur ses deux belles montagnes galbées. Elle pousse un cri de rage tout en jurant. Je la rattrape de justesse, passe mon bras sous son ventre, puis la presse contre mon torse, la maintenant prisonnière. Elle gigote, tout en hurlant tous les noms d’oiseaux qui lui viennent à l’esprit avant de se figer. Sa respiration s’est, elle aussi, arrêtée. Incapable de résister à ma pulsion, je me courbe pour plonger le nez dans ses cheveux à la couleur incandescente. Ils vont bien avec son satané caractère. Une fragrance de cannelle me titille les narines.
Elle sent bon. J’ai envie de la dévorer.
— Franky ? chuchote-t-elle, toujours tendue, quand ses poumons recommencent à fonctionner.
C’est vraiment dommage qu’elle ait une langue de vipère et qu’elle ne s’en serve pas pour autre chose.
— Eh oui ! Que fais-tu ici, petite garce ?
Extrait 5 :
Il s’avance vers l’amoncellement de cartons puis soulève l’armature métallique difforme en ricanant.
— Il est où ton mec ? Il pourrait t’aider, c’est son job après tout. Tu n’es clairement pas douée pour ça.
Je ne réponds rien, vexée et énervée après ce type, mais aussi après mon frère.
— Quoi ? Il en a eu marre de la petite bourgeoise pourrie gâtée qu’il s’est tiré ? lance-t-il, moqueur.
— Tu veux bien t’occuper de ton cul, Frankenstein !
— Ce n’est pas étonnant qu’il t’ait larguée, prononce-t-il sur un ton irrité. Tout ce qui sort de ta bouche est aussi amer et acide que toi.
— Tu ne me connais pas !
— Et je n’en ai clairement pas envie.
Il repose l’armature au sol et ajoute en se dirigeant vers la sortie :
— Débrouille-toi toute seule puisque tu es si indépendante et arrogante. Tâche de ne pas détruire notre mur commun, je n’ai aucune envie de voir ta sale gueule tous les jours !
— Tu ne t’es pas regardé ! C’est pas moi qui ressemble à un monstre ici, hurlé-je en claquant la porte derrière lui.
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